Le monde de Reia

Reia est un royaume qui se trouve sur la route de tous les périls. Sa particularité réside dans le fait que tout le royaume est dans un cyclone gigantesque.
Pour comprendre ce phénomène, il faut remonter à l'origine du cyclone, il y'a 1200 ans.

Ce cyclone s'est crée dans l'une des 7 routes de Grand Line, et a suivie un cycle régulier durant toutes ses années. Sur ce cycle, se trouvait des îles, qui avec le temps, ont été englouties et se sont retrouvé piégées au coeur du cyclone, dans "l'oeil".
Pris dans la basse pression qui y régnait, les fragments d'îles se sont regroupées pour faire plusieurs îles, qui gravitent dans le cyclone.



Aujourd'hui, l'oeil du cyclone fait plus ou moins 100 km. Ce cyclone continue de vivre à cause des vapeurs chaudes qui sont présentes en grande quantité dans cet endroit de la route de tous les périls, et aussi à cause des champs magnétiques.

Un véritable royaume s'est installé dans cet oeil, avec une république et une religion. Le peuple y vit libre et heureux: en effet, dans l'oeil d'un cyclone, il y fait toujours beau et chaud.

Le peuple qui y vit tire toutes son énergie du cyclone, au moyen d'un énorme moteur présent sur l'île principale. Cette énergie infinie leur a permit de créer des bateaux volants, avec lesquels ils ont voyagé en dehors du cyclone. En plusieurs siècles d'existence, ils ont perdu plusieurs de ces bateaux volants qui gisent aujourd'hui dans le fond de nos océans.



Il y a 7 îles principales, qui se sont distinguées par leur taille, puis ensuite une multitude de toutes petites îles, trop petites pour être importante. Au-dessus de toutes ses îles, il y a une île qui se situe très près du ciel, presque au dessus du cyclone.

La république est dirigée par un homme, qui est le chef des forces républicaines. Leur religion repose avant tout sur l'espoir que le cyclone dure à jamais, car les habitants aiment leur vie. Ils prient donc en faveur d'une sorte "d'esprit du cyclone". Sur l'île la plus hautes, vit leur prêtresse, dont il n'ont pas le droit de voir le visage.